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2024

"Nous nous approchons dangereusement d'un accident nucléaire" à Zaporijjia, a alerté lundi le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), notant qu'il était "impossible" de savoir qui était responsable des récentes attaques contre la centrale nucléaire ukrainienne.Le site de Zaporijjia (ZNPP), occupé depuis mars 2022 par la Russie dans le sud de l'Ukraine, a subi une série d'attaques de drones à partir du 7 avril, Moscou et Kiev se rejetant mutuellement la responsabilité.
En dépit du conflit qui les oppose, Kiev et Moscou parviennent à se parler pour entretenir la plus grande centrale d’Europe, aujourd’hui en territoire occupé. L’Agence internationale de l’énergie atomique s’est imposée comme interlocuteur unique.

2023

Un ouvrier sur le chantier de démantèlement de la centrale nucléaire dévastée de Fukushima Daiichi (nord-est du Japon) a été victime d'une contamination radioactive au visage, selon l'opérateur de la centrale, où un incident similaire était déjà survenu en octobre.
Le site industriel ukrainien, devenu base militaire russe, a subi une «panne totale» dans la nuit du vendredi 1er au samedi 2 décembre. Le courant a finalement été rétabli.
La décontamination des sols a-t-elle porté ses fruits à Fukushima ? Oui, là où elles ont pu être menées. Mais il reste encore 67 % du césium 137 initial dans le sol des forêts, répond une nouvelle étude.
Le Japon a démarré jeudi la troisième phase du rejet en mer des eaux traitées de la centrale accidentée de Fukushima, alors que Pékin et Moscou ont restreint leurs importations japonaises en protestation contre ce processus devant durer plusieurs décennies.
Une personne a été tuée dans un accident survenu dans une usine d'enrichissement d'uranium en Russie, a confirmé l'autorité russe nucléaire Rosatom vendredi. Un cylindre avec de l'uranium appauvri a fui.
Le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a appelé mardi devant le Conseil de sécurité de l’ONU la Russie et l’Ukraine à soutenir cinq "principes concrets" pour assurer la sécurité de la centrale ukrainienne de Zaporijjia et éviter un "accident nucléaire".
L‘Agence internationale de l’énergie atomique a alerté samedi sur le risque d’un «grave accident nucléaire» à la centrale de Zaporijjia sous contrôle russe, sur fond d’évacuations liées à la contre-offensive attendue de Kyiv dans la région.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a alerté samedi sur le risque d'un "grave accident nucléaire" à la centrale de Zaporijjia, occupée par les forces russes en Ukraine, en pleine évacuation d'une ville voisine où vivent la plupart des employés, et sur la situation "potentiellement dangereuse" autour du site."La situation dans la zone proche de la centrale nucléaire de Zaporijjia devient de plus en plus imprévisible et potentiellement dangereuse", a averti le chef de l'Agence, Rafael Grossi, cité dans un communiqué de l'AIEA.
Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a tiré une nouvelle fois la sonnette d'alarme après une frappe russe sur la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (sud), qui fonctionne désormais aux générateurs de secours.

2022

Des bombardements en série, des coupures électriques à répétition, un personnel ukrainien sous pression: la centrale de Zaporijjia, située dans le sud de l'Ukraine et occupée par l'armée russe, vit sous la menace constante d'une catastrophe nucléaire. Quel est l'état de la centrale? Après une première frayeur lors de la prise du site par Moscou le 4 mars, la situation s'est nettement dégradée début août. Les frappes, dont Moscou et Kiev s'accusent mutuellement, se succèdent dans cette zone proche de la ligne de front. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui a fini par installer des experts sur place, a signalé "une bonne douzaine" de tirs ce week-end.
Il y a soixante ans lors de la crise des missiles à Cuba, le monde a cru frôler la catastrophe nucléaire. A l'heure où le président russe Vladimir Poutine laisse planer la menace d'un recours à l'arme atomique dans la guerre qu'il mène à l'Ukraine, retour sur certains de ces potentiels moments de bascule.
L'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA) aspire à "éviter un accident nucléaire" à la centrale de Zaporijjia (sud de l'Ukraine), occupée par les troupes russes, a déclaré son directeur général Rafaelo Grossi, qui est à la tête de la mission arrivée dans la zone mercredi. "C'est une mission qui cherche à éviter un accident nucléaire et à préserver cette importante centrale nucléaire, la plus grande d'Europe", a dit M. Grossi à la presse dans la ville de Zaporijjia, à environ 50 kilomètres à vol d'oiseau de la centrale. La mission d'inspection de l'AIEA menée par M. Grossi, reçue par le président ukrainien Volodymyr Zelensky la veille à Kiev, a quitté la capitale tôt mercredi matin. Selon l'agence russe TASS, citant un responsable prorusse, la délégation doit arriver à la centrale jeudi.
La communauté internationale a le regard tourné vers Zaporijjia, où Russes et Ukrainiens s’affrontent depuis des semaines près de la plus grande centrale nucléaire d’Europe. Cette situation tendue fait courir plusieurs risques nucléaires que tous les belligérants et leurs soutiens souhaitent éviter. France 24 fait le point sur les scénarios possibles.
L'Ukraine doit se préparer à "tous les scénarios" à la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les troupes russes et visée par des bombardements répétés, a averti mercredi le ministre ukrainien de l'Intérieur.
Un de plus. Un huitième réacteur nucléaire d’EDF, celui de Cattenom 3 (Moselle), présenterait des fissures au niveau des soudures de son circuit d’injection de sûreté – une pièce très importante en cas d’accident, puisqu’elle permet d’asperger en urgence le cœur en surchauffe d’eau borée pour éviter la fusion du combustible et un accident type Tchernobyl ou Fukushima. C’est ce qu’a affirmé une source syndicale au site d’information spécialisé sur l’énergie Montel, qui a révélé l’information mercredi 13 avril. Le réacteur, mis à l’arrêt le 26 mars pour des contrôles, ne devrait pas redémarrer avant le 14 août – trois mois et demi plus tard que prévu.
Guerres, cyberattaques, dérèglement climatique... Les causes possibles d’accidents graves sont nombreuses. Et en France, les réacteurs vieillissants gérés par EDF, en difficulté financière, soulèvent cette crainte. Enquête [3/5]
Les autorités ukrainiennes ne parviennent pas à rétablir les moyens de surveillance de la radioactivité à Tchernobyl, dans le nord de l'Ukraine, où les soldats russes ont créé selon elles un réseau souterrain lorsqu'ils ont occupé le site du pire accident nucléaire jamais survenu.
Les accidents nucléaires ont des conséquences dramatiques, malgré les dénégations des pronucléaires. En termes de décès et de maladies, mais aussi sur le plan économique et en laissant des zones contaminées pour des décennies. Enquête [2/5]
Le chef de l'AIEA se trouve en Ukraine "pour des discussions avec des responsables du gouvernement" afin de fournir "une assistance technique" garantissant la sécurité des installations nucléaires, a annoncé l'instance onusienne mardi. "Le conflit militaire pose un danger sans précédent pour les centrales et autres sites du pays. Nous devons prendre des mesures urgentes pour nous assurer qu'elles continuent à fonctionner en toute sûreté et réduire le risque d'un accident", a déclaré Rafael Grossi, directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, cité dans un communiqué de l'AIEA.
When the lights went out at Chornobyl Nuclear Power Plant on 9 March, the Russian soldiers holding Ukrainian workers at gunpoint became the least of Anatolii Nosovskyi’s worries. More urgent was the possibility of a radiation accident at the decommissioned plant. If the plant’s emergency generators ran out of fuel, the ventilators that keep explosive hydrogen gas from building up inside a spent nuclear fuel repository would quit working, says Nosovskyi, director of the Institute for Safety Problems of Nuclear Power Plants (ISPNPP) in Kyiv. So would sensors and automated systems to suppress radioactive dust inside a concrete “sarcophagus” that holds the unsettled remains of Chornobyl’s Unit Four reactor, which melted down in the infamous 1986 accident.
Rafael Grossi, directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), s'est entretenu avec France 24 depuis le siège de l'agence onusienne, à Vienne. L'offensive russe suscite de vives inquiétudes vis-à-vis de la sécurité des quinze réacteurs nucléaires installés en Ukraine. Rafael Grossi concède que si cela constituerait un "scénario extrême", un accident nucléaire "n’est pas exclu", car les "points cardinaux" de la sécurité nucléaire ne sont actuellement pas respectés.
Le Conseil des gouverneurs de l'AIEA, gendarme onusien du nucléaire, a adopté jeudi une résolution appelant la Russie à "cesser immédiatement les actions contre les sites nucléaires ukrainiens", mis en danger par la guerre qui fait rage. Le texte "déplore" l'invasion russe, estimant qu'elle "pose des menaces graves et directes à la sécurité" de ces lieux et de leur personnel, avec "le risque d'un accident ou incident nucléaire qui mettrait en danger la population de l'Ukraine, des États voisins et de la communauté internationale".
La Belgique compte cinq sites nucléaires. Les plus importants sont les centrales nucléaires de Doel et de Tihange. Il y a également le Centre d’Etude de l’Energie Nucléaire (SCK-CEN), Belgonucléaire & Belgoprocess à Mol-Dessel et l’Institut national des Radioéléments (IRE) à Fleurus. Deux centrales nucléaires se situent par ailleurs à moins de 20 km de nos frontières, à Borssele (Pays-Bas) et Chooz (France). Le risque d’un accident nucléaire sur l’un de ces sites est faible mais n’est pas inexistant. En cas d'accident nucléaire avec un rejet radioactif, il y a un risque pour l'homme (contamination interne ou externe) et l'environnement.
La Russie, qui a lancé jeudi une invasion de l'Ukraine, a pris le contrôle de la centrale de Tchernobyl, site du pire accident nucléaire de l'histoire en 1986, a annoncé la présidence ukrainienne. "Après des combats acharnés, nous avons perdu le contrôle du site de Tchernobyl", a déclaré Mikhaïlo Podoliak, un conseiller de la présidence. Kiev avait fait état plus tôt d'affrontements près du dépôt des déchets nucléaires du site.
Six personnes ont lancé jeudi une action collective en justice au Japon pour tenter de faire reconnaître le lien existant selon eux entre leurs cancers de la thyroïde et leur exposition aux radiations après l'accident nucléaire de Fukushima en mars 2011.

2021

EDF a annoncé mercredi soir avoir décidé d'arrêter les deux réacteurs de Chooz "par mesure de précaution", et de prolonger l'arrêt des deux réacteurs de la centrale de Civaux (Vienne), après la détection de défauts à proximité de soudures des tuyauteries du circuit d'injection de sécurité de celle-ci, un circuit qui permet de refroidir le réacteur en cas d'accident.
Incendies, inondations, sécheresses à répétition. Malgré un monde instable dû au chaos climatique, l’État mise tout sur le nucléaire. Pas de panique, grâce à un « guide pratique pour les habitants d’un territoire contaminé », on surmontera en douceur tout accident. Une politique glaçante, estime notre chroniqueuse Celia Izoard.
L’énergie nucléaire, telle qu’actuellement déployée, ne répond pas, sur le plan environnemental, éthique et sanitaire, aux principes du développement durable, estime dans un avis le Conseil supérieur de la Santé (CSS).
Que se passerait-il en cas d’accident grave à la centrale nucléaire du Tricastin ? En fonction des conditions météorologiques, toute la France mais aussi l’Europe pourraient être touchées
Un accident nucléaire peut affecter durablement des territoires, parfois éloignés du lieu où il s’est produit. Les éléments radioactifs se dispersent dans l’environnement (air, eaux, sols) et peuvent, si aucune action de protection n’est conduite, altérer la santé des personnes à plus ou moins long terme.
Depuis 2018, le nouveau plan de sécurité nucléaire belge a étendu le rayon de distribution des comprimés d'iode - qui permettent de réduire les risques de cancer de la thyroïde en cas d'irradiation - à 100 kilomètres autour des centrales nucléaires, ce qui revient à couvrir l'ensemble de la population. Or, aujourd'hui, 8 millions de Belges n'ont toujours rien reçu...

2019

2014



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